L’intelligence émotionnelle consiste à considérer ses émotions comme un précieux potentiel qui mérite d’être exploré. Ce n’est pas forcément les accepter, ni les rejeter.
Pendant longtemps la théorie cartésienne opposait émotions et raison, théorie qui a été balayée par les neurosciences.
En tant qu’hypersensible, j’ai longtemps rejeté le « trop » chez moi, trop émotive, trop différente, trop ci ou ça.
Aujourd’hui j’arrive à considérer ces émotions comme des cadeaux. Elles me font me sentir vivante, je m’en sers pour créer, mais aussi pour approfondir sur moi,…
Et je me rends compte que du coup celles-ci sont de bien plus courte durée qu’avant 
Il n’existe pas d’émotions négatives, mais des émotions désagréables qui nous apportent des informations importantes.
Prenons l’exemple de la voiture, lorsque des signaux rouges apparaissent ce n’est franchement pas agréable. Pourtant, on va les prendre en compte pour régler la problématique du véhicule sinon celui-ci risque d’avoir des problèmes qui vont empirer. C’est pareil pour notre corps avec les maux, et nos émotions désagréables. Ce sont des informations enrichissantes pour nous 🙂